dimanche 9 février 2014

en février, pour faire chier le monde

Qu'est ce qui pouvait être si urgent et ne pouvait donc pas attendre la saison basse ? l'EDF ? l'eau ? Non, renseignements pris, il s'agit de l'internet !!!

photo de mariage sur la plage

samedi 1 février 2014

le "bateau volant" (suite)

Thaïlande : Une révolte contre l’emprise américaine

Les désordres qui secouent la Thaïlande sont une révolte contre un gouvernement inféodé aux États-Unis qui galvaude le patrimoine national en privatisant les ressources. La capitale thaïlandaise, Bangkok, n’est plus le lieu idyllique que s’imaginent les vacanciers occidentaux. Les batailles de rue se succèdent entre les partisans du gouvernement de la ministre-présidente Yingluck Shinawatra, reconnaissables à leurs chemises rouges, et les opposants à ce gouvernement, généralement vêtus de chemises jaunes.Cinq personnes ont trouvé la mort jusqu’ici. La situation n’est pas prête à se calmer: le chef de l’opposition, Suthep Thaugsuban est fermement décidé à renverser Yingluck Shinawatra, qu’il considère comme une marionette de son frère Thaksin Shinawatra. Le déclencheur de cette vague de protestations a été une loi d’amnistie fabriquée pour absoudre Thaksin Shinawatra, l’ancien premier ministre thaïlandais, qui vit en exil depuis qu’il a été renversé par les militaires en septembre 2006; en 2008, il a été condamné à la prison pour corruption. L’opposition revendique également de renationaliser le consortium thaïlandais du pétrole PTT. Ce consortium avait été privatisé peu après l’accession au pouvoir de Thaksin Shinawatra en février 2001. Le “Wall Street Journal” écrivait à l’époque: “Le premier ministre thaïlandais Thaksin Shinawatra a fait du processus de privatisation, longtemps bloqué, l’un de ses premiers objectifs économiques. Au cours des trois prochaines années, le gouvernement vendra les actions de 16 entreprises et agences nationales”. Avant d’entamer sa carrière politique, Shinawatra avait été conseiller du Groupe Carlyle, une des plus grosses entreprises américaines de participation. Il a mis à profit ses expériences professionnelles quand il a commencé sa carrière politique, comme l’écrivait le journaliste Thanong Khantong en 2001 dans le journal thaïlandais en langue anglaise “Nation”: “En avril 1998, lorsque la Thaïlande se trouvait encore dans le marasme économique le plus profond, Thaksin Shinawatra a essayé d’utilser ses liens avec l’Amérique pour peaufiner son image politique, au moment où il fondait son parti le Thai Rak Thai”. Il a notamment invité l’ancien président américain George H. W. Bush et son ministre des affaires étrangères James Baker. Les Américains ont rapidement reconnu l’importance que pouvait revêtir Shinawatra qui, pour sa part, a su se montrer reconnaissant. En 2003, la Thaïlande a envoyé un contingent de soldats pour perpétrer l’attaque contre l’Irak, contraire au droit des gens. Il a également entamé des pourparlers pour forger un accord de libre-échange entre les Etats-Unis et la Thaïlande. Shinawatra a ensuite tenté d’imposer les conditions de cet accord au pays, en contournant le parlement. Le coup des militaires a empêché la traduction dans la réalité de cet accord. Celui-ci aurait d’abord profité aux États-Unis. Dans un rapport de la Maison Blanche, on peut lire que l’accord de libre-échange “aurait essentiellement profité aux fermiers américains, confrontés aux droits de douane thaïlandais qui, en moyenne, sont de 35% plus élevés que les restrictions extra-tarifaires”.Robert Zoellick, un faucon de l’écurie des néo-conservateurs, qui, à l’époque était le principal des négociateurs américains et est devenu ultérieurement président de la Banque Mondiale, fut l’homme qui força Bangkok à éliminer dans le domaine agricole, “les limitations injustifiables à l’endroit des nouvelles technologies américaines”.Cette formule désigne surtout les organismes génétiquement modifiés. D’après Ernest Bower, le président du “US-ASEAN Business Council”, le traité entre Washington et Bangkok devait constituer “un précédent et un préliminaire” à tous les accords de libre-échange à négocier entre les États-Unis et les pays d’Asie du Sud-Est disposant d’un fort secteur agricole.L’“US-ASEAN Business Council” est un lobby qui veut amplifier les relations économiques entre les États-Unis et l’association des pays du Sud-Est asiatique. Parmi les 500 entreprises américaines qui sont parties prenantes dans ces négociations, on compte Coca-Cola et Google mais aussi des industries de l’armement comme Lockheed Martin et Northrop Grumman.L’“US-ASEAN Business Council” est demeuré actif en Thaïlande après la chute de Shinawatra. De concert avec d’autres fondations américaines influentes, comme Freedom House, le Council a soutenu des “mouvements démocratiques” thaïlandais comme l’UDD (“United Front for Democracy Against Dictatorship”). Une “Union for Thai Democracy” remercie le Council pour l’avoir soutenu dans une lettre du 26 avril 2011: “Nous avons eu l’occasion de rencontrer ‘Human Rights Watch’, le ‘National Democratic Institute’ [une officine dépendant des Démocrates américains] et l’‘US-ASEAN Business Council’. Nous avons discuté de nombreuses questions (…). Le monde sait désormais, à l’heure de la globalisation, que seule une véritable démocratie peut garantir la stabilité”.L’intérêt des Américains était que le statu quo demeurât tel quel en Thaïlande. La re-nationalisation du géant pétrolier PTT, que réclame l’opposition actuelle, bouleverserait la situation économique: en effet, le consortium énergétique américain Chevron est l’actionnaire principal de PTT depuis la privatisation de cette entreprise du Sud-Est asiatique.Il faut aussi se rappeler que PTT dispose d’un bon réseau d’oléoducs et de gazoducs. Vu les réserves énergétiques thaïlandaises, ce réseau revêt une importance stratégique considérable. Selon un dossier établi par la CIA, la Thaïlande disposerait de réserves sûres de pétrole estimées à 442 millions de barils et des réserves de gaz équivalant à 8,8 milliards de m3”. A tout cela s’ajoute la position géostratégique de la Thaïlande et surtout de la presqu’île de Kra, dont la largeur est d’à peine 44 km. Elle sépare l’Océan Indien du Golfe du Siam. La Chine, depuis longtemps, veut creuser un canal au beau milieu de cette presqu’île pour mettre un terme au fameux “dilemme de Malakka”: le détroit de Malakka, contrôlé par des puissances tierces, limite considérablement la marge de manœuvre des Chinois dans cette zone maritime cruciale.Zhou Fangye, de l’Académie chinoise des sciences sociales, écrivait, fin novembre 2013, dans un journal appartenant à l’État chinois, “Global Times”, que le creusement d’un canal “résoudrait automatiquement le ‘dilemme de Malakka’ et permettrait d’éviter le goulot d’étranglement stratégique qui limite l’accès à l’Océan Indien de la puissance maritime chinoise”. A l’inverse, le politologue néo-conservateur américain Robert Kaplan considère que le projet d’un Canal de Kra, vu son importance géostratégique, est comparable au projet du Canal de Panama et “changerait l’équilibre en Asie au profit de la Chine”.

mercredi 29 janvier 2014

Bangkok décrète l’état d’urgence

L’état d’urgence entre en vigueur mercredi dans la capitale thaïlandaise, et ce pour soixante jours. Annoncée mardi par le gouvernement contesté de la Première ministre, Yingluck Shinawatra, cette mesure, qui donne davantage de pouvoir aux autorités au nom de la protection de l’Etat (...) Les anti-Thaksin refusent catégoriquement les élections prévues le 2 février, qu’ils savent gagnées d’avance pour la Première ministre, soutenue par les nombreux fidèles de son frère, exilé à Londres (...) Le souvenir de la sanglante répression militaire du 19 mai 2010 contre les «Chemises rouges», les partisans de l’ex-Premier ministre Thaksin Shinawatra, est encore dans tous les esprits. Elle avait fait plus de 90 morts et 1 900 blessés %%%%%%%%%%% L’opposition thaïlandaise vient de perdre l’un de ses chefs de file. Meneur de la contestation qui fait rage en Thaïlande depuis plus de deux mois, Suthin Taratin a été tué par balles, dimanche 26 janvier, lors de heurts à Bangkok (...) il a été abattu alors qu'il parlait à la foule depuis un pick-up près d'un bureau de vote

Bague $160

THE vautre

zoomer sur la gueule du mec !

mercredi 22 janvier 2014

samedi 18 janvier 2014

Gold bracelet 2 $600

frog

shisha USA $300

POIZON close !

le bar qui marchait le mieux ferme ses portes en janvier !!! mise à prix $50 000

vendredi 17 janvier 2014

PS : bracelet large en dessous

556$ pour 18 carrats => cher

Gold à Bangkok (Yaoworat)

purity of 96.5 percent (23 carat) 18 600 baht per baht => 38 161 THB/oz => 1174$/oz 1 Baht = 15.16 grams 1 oz = 31,1034768 g  A purity of 96.5 percent means in 1 Baht of Gold 96.5 percent of it is pure gold while the rest is made of metals such as silver in 1 Baht Gold there is normally 14.71 grams of pure gold 39 057 THB => 1202$ oz 20 Francs Napoléon = 6.45 gr / 5,81 gr d'or pur

Thaïlande : explosion dans un défilé de manifestants antigouvernementaux

Une explosion a eu lieu vendredi 17 janvier à Bangkok lors d'un défilé de manifestants, ces derniers réclamant depuis des semaines la chute du gouvernement thaïlandais, a annoncé la police. Au moins 28 personnes ont été blessées. Selon la chaîne de télévision pro-manifestants Bluesky, qui a diffusé en direct des images de flaques de sang et de personnes au sol, un engin explosif a été lancé sur le défilé. Depuis le début de la crise politique qui a fait huit morts en deux mois et demi, une série d'attaques conduites par des personnes non identifiées a eu lieu contre les opposants au gouvernement. Mais ces tirs ou explosions se sont généralement produits en pleine nuit dans des campements installés par le mouvement. Surapong Tovichakchaikul, le ministre des affaires étrangères, a estimé vendredi qu'il « [était] temps » de reprendre le contrôle de Bangkok, dont lecentre est en partie occupé par des milliers de manifestants. Cette remarque trahit l'impatience croissante des autorités thaïlandaises face à la mobilisation des opposants, qui bloquent l'accès à certains ministères et contrôlent plusieurs carrefours de la capitale.  FIN DU « SYSTÈME THAKSIN »Les manifestants réclament le départ de la première ministre, Yingluck Shinawatra, et la fin de ce qu'ils appellent le « système Thaksin », du nom de son frère, qu'ils associent à une corruption généralisée. L'ancien premier ministre Thaksin Shinawatra qui reste le personnage central de la politique du royaume malgré son exil, a été renversé en 2006 par un coup d'Etat, plongeant la Thaïlande dans des crises politiques à répétition divisant la société.Pour tenter de sortir de l'impasse, Yingluck Shinawatra a convoqué des législatives anticipées pour le 2 février, mais les manifestants ne veulent pas de ce scrutin qui a toutes les chances d'être remporté par le parti au pouvoir, et le principal parti d'opposition, le Parti démocrate, le boycotte.

gilette mach 3 hors de prix à Phnom Penh

Thaïlande: le gouvernement réclame l’arrestation des meneurs des manifestants

Le gouvernement thaïlandais appelle jeudi la police à arrêter les meneurs des manifestants qui ont menacé de «capturer» la Première ministre, Yingluck Shinawatra, et bloqué une partie du centre de Bangkok lors d’une opération de «paralysie» qui semble s’essouffler.Les manifestants réclament depuis plus de deux mois la tête de Yingluck et la fin de ce qu’ils appellent le «système Thaksin» qu’ils associent à une corruption généralisée.L’ancien Premier ministre, Thaksin Shinawatra, frère de Yingluck, qui reste le personnage central de la politique du royaume malgré son exil, a été renversé en 2006 par un coup d’Etat, engluant la Thaïlande dans des crises politiques à répétition divisant la société entre pro et anti-Thaksin.Plusieurs leaders du mouvement actuel, qui veulent remplacer le gouvernement par un «conseil du peuple» non élu, circulent librement à la tête des cortèges malgré les mandats d’arrêt lancés à leur encontre pour leur rôle dans cette crise qui a fait huit morts et de nombreux blessés.Mandat d’arrêt pour insurrectionLe principal meneur, Suthep Thaugsuban, fait en particulier face à un mandat d’arrêt pour insurrection émis début décembre, et à des poursuites pour meurtre pour son rôle dans la répression des manifestations pro-Thaksin du printemps 2010 (90 morts), lorsqu’il était au gouvernement.«C’est le devoir de la police d’arrêter Suthep parce qu’il est recherché pour insurrection, sinon la police fera face à des accusations de malversation» a déclaré jeudi le vice-Premier ministre, Surapong Tovichakchaikul, après une rencontre avec le chef de la police nationale, Adul Saengsingkaew.Selon Surapong, Suthep est protégé par une quarantaine de gardes du corps.La police n’a jusqu’ici pas essayé de l’interpeller et certains observateurs doutent que l’ancien député soutenu par les élites royalistes finisse en prison.Selon Adul Saengsingkae, les manifestants, qui étaient des dizaines voire des centaines de milliers lundi pour lancer l’opération de «paralysie» de Bangkok, n’étaient plus que 7.000 jeudi dans les rues de la capitale, continuant toutefois à occuper certains carrefours majeurs. Ils étaient encore 23.000 mercredi soir, a-t-il ajouté.Pour tenter de sortir de l’impasse, Yingluck a convoqué des législatives anticipées pour le 2 février, mais les manifestants ne veulent pas de ce scrutin qui a toutes les chances d’être remporté par le parti au pouvoir, et le principal parti d’opposition, le Parti démocrate, le boycotte.La Première ministre est d’autre part menacée par une enquête de la commission nationale anticorruption qui doit rendre ses conclusions jeudi sur le programme de subventions aux riziculteurs du gouvernement.

Thaïlande : plusieurs blessés lors de tirs sur des manifestants 

Plusieurs personnes ont été blessées, dont une gravement, par des tirs contre un campement d'opposants au gouvernement thaïlandais, a indiqué la police samedi, à deux jours de la  « paralysie » promise de Bangkok par les manifestants qui veulent la chute de la Première ministre.Deux attaques ont eu lieu dans la nuit de vendredi à samedi contre le principal site où les manifestants campent depuis plus de deux mois dans le centre historique de la capitale. Huit personnes ont été tuées depuis le début du mouvement, la plupart abattues dans des circonstances troubles, et des dizaines blessées.Alors que les manifestants ont promis de paralyser Bangkok à partir de lundi jusqu'à la « victoire », les autorités s'inquiètent de possibles violences et près de 20.000 policiers et soldats seront mobilisés. Les manifestants, qui veulent remplacer le gouvernement par un « conseil du peuple » non élu, accusent la Première ministre Yingluck Shinawatra d'être la marionnette de son frère Thaksin et veulent se débarrasser de ce qu'ils appellent le « système Thaksin ». 

lundi 6 janvier 2014

feu de brousse à 1m de chez moi

Hun Sen mate la contestation

Après avoir toléré durant des mois la plus forte opposition populaire à son « règne » de vingt-huit ans, le premier ministre cambodgien, Hun Sen, a choisi la manière forte. Vendredi 3 janvier, la police a tiré contre des ouvriers du textile manifestant dans Phnom Penh pour une hausse de leurs salaires, faisant quatre morts et une vingtaine de blessés (...) Et le 14 janvier, Sam Rainsy et Kem Sokha, respectivement président et vice-président de la formation d'opposition Parti du sauvetage national du Cambodge (PSNC), sont convoqués à la cour municipale de Phnom Penh pour répondre aux accusations d'« incitations àtroubler l'ordre public ». M. Rainsy a assuré, dimanche, qu'ils s'y rendraient tous les deux » (...) l'aspect le plus neuf est l'alliance entre l'opposition politique et les syndicats ouvriers. Les ouvriers du textile représentent une force de travail de 650 000 personnes et sont en lutte pour que leurs salaires doublent, c'est-à-dire passent de 80 dollars (59 euros) le mois à 160.

dimanche 5 janvier 2014

ça vieillit...

the Deck

Plus de manif

Les autorités cambodgiennes ont interdit samedi jusqu’à nouvel ordre les manifestations de l’opposition, dispersant des centaines de ses partisans au lendemain de la répression d’un rassemblement d’ouvriers du textile qui a fait au moins trois morts.Des policiers antiémeutes équipés de boucliers et de matraques sont entrés dans un parc de Phnom Penh, provoquant la fuite des militants du Parti du sauvetage national du Cambodge (CNRP) qui y étaient rassemblés depuis décembre pour réclamer de nouvelles élections, a constaté un photographe de l’AFP.Cette intervention, qui ne semblait pas avoir été accompagnée de heurts, survient au lendemain de la répression d’une manifestation d’ouvriers du textile réclamant des augmentations de salaire, sur lesquels les forces de l’ordre ont ouvert le feu, faisant au moins trois morts.Dans ces circonstances, et alors que les ouvriers du textile se sont récemment alliés aux partisans de l’opposition, la municipalité de Phnom Penh a décidé de ne plus autoriser le CNRP à manifester dans le parc de la Démocratie ou dans les rues «à partir du 4 janvier et jusqu’à ce que la situation et l’ordre public reviennent à la normale», a déclaré le gouverneur de la capitale, Pa Socheatvong.