lundi 23 décembre 2013

carte Bangkok métro

Thaïlande

 A Bangkok une foule immense a bloqué toutes les entrées du stade où devait avoir lieu le dépôt des candidatures pour les élections législatives anticipées fixées pour février. Samedi le Parti démocrate, principale formation de l'opposition, a annoncé le boycotte des élections et a appelé à poursuivre les protestations. Face aux manifestations, la première ministre Yingluck Shinawatra a dissout le parlement et a démissionné, cependant son cabinet continue de travailler avant les nouvelles élections. L'opposition réclame la démission du gouvernement intérimaire, la désignation d'un nouveau premier ministre et la convocation d'un « conseil populaire » en charge de réformes politiques. 

dangerous work

la panthere rose

Kéa

dimanche 22 décembre 2013

mercredi 18 décembre 2013

mardi 17 décembre 2013

Samudera augmente ses prix

Exemple : le beurre passe de 3$ à 3,30$ : haute saison? !?

Thaïlande: des élections le 2 février prochain

L'armée thaïlandaise a 18 coups d'Etat ou tentatives de coups d'Etat à son actif. Mais dans la crise actuelle, les forces armées refusent - pour l'heure en tout cas - de prendre parti pour l'un ou l'autre camp.Le commandant suprême des forces armées Thanasak Patimaprakorn, l'a réaffirmé ce week-end, le rôle de l'armée est de servir tous les Thaïlandais. C'est ainsi qu'il a rejeté l'appel des opposants à rejoindre leurs rangs pour renverser le Premier ministre Yingluck Shinawatra, accusée d'être la marionnette de son frère en exil, Thaksin Shinawatra.

mardi 10 décembre 2013

Thailande

Thai Prime Minister Dissolves Parliament In Response To Protests, Calls For New Elections

lundi 9 décembre 2013

dimanche 8 décembre 2013

le marché

ça construit

elephant downtown

Thaïlande : un référendum proposé

Le premier ministre thaïlandais Yingluck Shinawatra a proposé dimanche de soumettre son avenir à référendum et promis de démissionner si elle était désavouée alors qu'une dernière grande manifestation de l'opposition est prévue lundi pour la contraindre à démissionner. Dans une allocution télévisée, Yingluck Shinawatra a expliqué que le gouvernement cherchait à mettre un terme à un conflit qui dure depuis plus d'un mois.L'opposition est mobilisée en Thaïlande depuis la présentation en octobre d'un projet d'amnistie dont aurait pu bénéficier Thaksin Shinawatra, frère de Yingluck et lui-même ancien premier ministre. Il s'est auto-exilé à Dubaï pour éviter une condamnation en 2008 pour corruption mais il reste très impliqué dans la vie du gouvernement de sa soeur."Nous devrions organiser un référendum de sorte que le peuple puisse décider de ce que nous devons faire", a déclaré Yingluck Shinawatra. Elle n'a pas donné de précision sur le référendum envisagé tout en soulignant qu'une telle consultation était conforme à la constitution. "Je veux écouter les propositions des manifestants. Je ne suis pas accrochée à ce titre", a-t-elle dit. "Je suis prête à démissionner et à dissoudre le parlement si c'est ce que veut la majorité du peuple thaïlandais."Le chef des manifestants anti-gouvernement, Suthep Thaugsuban, qui sait que Yingluck Shinawatra risque de l'emporter en cas d'élections, a demandé la création d'un "conseil du peuple" constitué de "bonnes personnes" pour remplacer le gouvernement. Yingluck Shinawatra a rejeté l'idée, l'estimant inconstitutionnelle et non démocratique.Suthep Thaugsuban a appelé à une dernière manifestation lundi pour contraindre la chef du gouvernement à démissionner. Il a dit à ses partisans qu'ils devaient reprendre le pouvoir à ce qu'il qualifie de régime Thaksin illégitime mais que s'ils ne réussissaient pas à chasser le gouvernement lundi, il abandonnerait le combat. Jusqu'ici, le gouvernement n'a pas ordonné d'usage massif de la force contre les manifestants. Yingluck Shinawatra a dit aux journalistes samedi que la police ferait preuve de retenue en cas de tentative d'occupation de bâtiments publics, y compris de ses bureaux au siège du gouvernement.

vendredi 6 décembre 2013